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Témoignages

Témoignage de Danielle

J’ai aujourd'hui 68 ans et je suis en rémission totale. Je le dois à la recherche, aux traitements novateurs dont j’ai bénéficié.

Ce jour de 2007 restera à jamais gravé dans ma mémoire. Ce jour où mon fils m’a appris que j’allais être grand-mère... et le médecin, que j’avais un cancer du sein. Un cancer grave. J’ai tout de suite pensé que je ne verrais jamais mon petit-fils.

Quelques semaines plus tard, on m’a enlevé mon sein. Un sacrifice suffisamment lourd pour que l’épreuve s’arrête là. Mais il me fallait encore affronter 1 an de chimiothérapie, la perte de mes cheveux, de mes cils, de mes sourcils, la perruque sous laquelle je cachais ma maladie pour continuer à travailler « presque » comme si de rien n’était. Durant cette période terrible, je dois souligner la qualité d’écoute exceptionnelle dont firent preuve les infirmières qui s’occupaient de moi, prenant le temps de me consoler quand je pleurais ou tout simplement de répondre aux millions de questions qui me taraudaient.

Le traitement a très bien fonctionné et le cancer n’a plus donné de signe de vie lors des radios et des scintigraphies. Je pensais en avoir fini avec l’hôpital, mais non. J’ai enchaîné avec 5 semaines de radiothérapie. Puis un protocole d’immunothérapie, indispensable pour éviter la récidive. C’était une toute nouvelle approche thérapeutique, et tout cela a fonctionné !

La preuve ? J’ai aujourd'hui 68 ans et je suis en rémission totale. Je suis très proche de mon petit-fils qui a maintenant 12 ans et demi. Et tout cela, je le dois à la recherche, aux traitements novateurs dont j’ai bénéficié. C’est grâce à eux que je suis là aujourd'hui !

Danielle, 68 ans, en rémission totale d’un cancer du sein.


 


Témoignage de Mélanie

L’immunothérapie est une solution révolutionnaire, tous les malades devraient pouvoir en profiter

En 2014, une coloscopie a révélé que j’étais atteinte d’une tumeur au niveau du côlon sigmoïde. Ce cancer généralement réservé aux adultes d’un certain âge, me touchait alors que j’avais à peine 32 ans. J’ai dû être opérée en urgence pour retirer la partie du côlon malade et vivre pendant six mois un traitement à base de chimiothérapie qui s’est avéré être très difficile à supporter. D'autant plus qu’à l’époque j’habitais en Nouvelle Calédonie et qu’à l’épreuve des opérations et traitements lourds s’ajoutait la distance avec mes amis proches et la remise en question de tous mes projets en cours.

Cette première chimiothérapie de 6 mois s’est ainsi révélée être de plus en plus fatigante au fil des mois, des semaines à passer à l’hôpital ou à la maison avec elle, car malgré un moral sans faille, le corps attaqué faiblissait et aucun effet positif n’était constaté. C’est au début de l’année 2015, que les médecins impuissants m’ont annoncé l’avancée de la maladie. Mon cancer prenait une place plus importante dans mon corps et avait fini par atteindre le foie sur presque toute sa partie droite, et malgré les efforts et douleurs subis pour guérir, il était à nouveau de retour dans mon côlon.

Ont suivi alors deux nouvelles cures de traitements de chimiothérapie, qui finalement m’ont plus abîmée que sauvée… A l’issue de ces six nouveaux mois, douze mois, 3 cures, les médecins m’ont informée qu’ils ne pouvaient plus rien, qu’aucun autre traitement n’existait mais qu’il subsistait ailleurs un espoir : l’admission à l’IGR dans un protocole d’essai en immunothérapie.

J’avais beau avoir eu écho de cette avancée médicale, celle-ci me paraissait lointaine, presque irréelle… Sauf qu’une semaine plus tard c’était du concret, j’étais contactée par le centre d’essai thérapeutique pour intégrer un protocole expérimental : 40% de chance de m’en sortir était un chiffre énorme comparé aux quelques pourcents donnés par la chimiothérapie à mon stade de développement de la maladie.

Les traitements reprirent donc de plus belle dans une ambiance d’expérimentation, agréable pour la scientifique que je suis, avec un rythme identique d’injections toutes les deux semaines. C’est alors que le miracle eut lieu… A peine quatre injections plus tard, je commençais déjà à ressentir les effets positifs du traitement. Mon corps revivait, il reprenait le dessus, je sentais la victoire dans mes cellules comme un feu d’artifice qui annonçait l’armistice. Au bout de deux mois je savais que j’allais gagner et je me suis accrochée à cette idée ! Et un an plus tard, alors que le cancer m’envahissait, je n’avais plus rien ! RIEN !

Et contrairement à la chimiothérapie, je n’ai eu aucun effet secondaire, et aujourd'hui je suis guérie ! Tous n’ont pas ma chance cependant beaucoup qui suivent ces protocoles voient leur maladie se stabiliser ou régresser. Je suis actuellement suivie tous les trois mois, aujourd'hui j’ai 37 ans, et grâce à l’immunothérapie je suis guérie !

Soigner en aidant son corps à se défendre plutôt qu’en l’attaquant est une démarche si logique ! Je l’ai vécue et je crois en cette solution révolutionnaire qui m’a sauvée et dont tous devraient pouvoir bénéficier. Parfois j’ai honte car je suis privilégiée et je rêve que tous les malades puissent un jour en bénéficier et avoir ma chance.

Soyez acteurs du changement ! Accélérons la recherche en ce sens ! Sauvons-nous, nos amis, familles, soutenez-la ! Soutenez l’immunothérapie !

Un grand merci au Professeur SORIA pour son investissement ainsi que tous les médecins qui m’ont suivie et amenée jusque-là !

Mélanie, 37 ans


Témoignage d'Anny

La prévention est primordiale car le cancer ça n’arrive pas qu’aux autres.

AnnyIl faut que toutes les femmes en aient conscience et fassent les examens de prévention indispensables. J’ai toujours effectué régulièrement les mammographies recommandées et c’est cet examen qui a permis de détecter mon cancer du sein de façon très précoce alors que je n’avais aucun symptôme, sinon peut-être une grande fatigue me dis-je avec le recul.

Si je suis en vie aujourd’hui, c’est grâce à cette mammographie de routine et aux traitements dont j’ai pu bénéficier ensuite. Le diagnostic a été d’une grande violence. J’ai ressenti un profond sentiment d’injustice et une appréhension très forte à l’idée d’annoncer la nouvelle à mes enfants… Ma fille de 14 ans s’est décomposée mais je lui ai dit « Non, on ne s’effondre pas », mon fils de 21 ans quant à lui est resté stoïque, sous le choc. Je me suis battue pour eux.

J’ai été très bien soignée et dix ans après je vais bien. Bien sûr, à chaque contrôle annuel l’angoisse de la récidive est là et les résultats rassurants sont un soulagement immense.

Je fais confiance aux chercheurs : ils font sans cesse de nouvelles découvertes, à tout moment ils peuvent découvrir de nouveaux traitements et améliorer les traitements existants de manière à réduire les effets secondaires qui peuvent être très lourds. Mais ce travail de chaque instant nécessite des moyens considérables. Il faut les leur donner et ils iront de plus en plus loin !

Anny, 60 ans, en rémission d'un cancer du sein


Témoignage d’Alexandra

Les chercheurs me sauvent la vie tous les jours. Je peux élever mes enfants, je vis, je respire grâce à eux, c’est formidable !

AlexandraEn septembre 2017, on m’a diagnostiqué un cancer du poumon avec des métastases dans tout le corps. Ça a été un choc immense : j’avais 30 ans, un mode de vie sain, pas de cancers dans ma famille… Mon cancer était tellement avancé que je pensais qu’il n’y avait pas d’espoir…

Et puis j’ai décidé de me battre, j’ai commencé une première thérapie ciblée innovante qui a permis de faire disparaître ma tumeur au poumon et les métastases dans mon corps.

Par contre, les métastases au cerveau ont repris. Heureusement, je bénéficie actuellement d’un second traitement novateur. Mes métastases cérébrales commencent à régresser et mon oncologue est vraiment optimiste pour la suite du traitement. Je sais que je peux développer une résistance aux traitements, et dans ce cas, on me proposera d’autres solutions thérapeutiques.

Le travail des chercheurs est incroyable et je leur fais confiance pour mon avenir. Merci également aux donateurs : grâce à vous, je suis encore en vie. Il faut continuer à faire des dons pour sauver toujours plus de malades.

Alexandra, 31 ans


Témoignage de Frédérique

C’est une valeur inestimable de se sentir aimée, soutenue, protégée ; ça aide à avancer et à se battre.

FrédériqueMa mère a été traitée pour un cancer du sein lorsque j’avais 16 ans. Ça a été un tel bouleversement pour moi que j’en ai été marquée à vie. Je savais qu’un jour ou l’autre, la maladie pouvait me tomber dessus. J’ai donc toujours effectué rigoureusement les contrôles annuels, c’est ce qui m’a sauvée. Si j’avais tardé, l’histoire aurait été bien plus dramatique.

A l’annonce du diagnostic, le choc a été si fort que je me suis effondrée pendant plusieurs jours. Et puis quand j’ai repris mes esprits, j’ai décidé de me battre comme lorsque j’avais escaladé le Mont Blanc pour mes 40 ans. J’ai décidé de continuer à faire du sport et à travailler.

Dans mon malheur, j’ai eu beaucoup de chance : j’ai été très entourée par mon mari qui a été particulièrement présent, à l’écoute et attentif, et par mon amie et associée Carol. Elle s’est montrée exceptionnelle, patiente et compréhensive. Ma famille et mes amis m’ont aussi beaucoup entourée durant toute cette épreuve. C’est inestimable de se sentir aimée, soutenue, protégée ; ça aide à avancer et à se battre.

Il y a dix ans, mes chances de guérison auraient été très faibles. Grâce aux progrès de la recherche, j’ai pu bénéficier d’un traitement innovant, l’herceptine, qui m’a également épargné de graves séquelles, comme en avait subi ma mère.

Aujourd’hui, je me sens en pleine forme. J’ai bénéficié des incroyables avancées de la recherche et voilà pourquoi j’aimerais apporter ma modeste pierre à l’édifice. En témoignant de mon combat contre le cancer du sein et en m’engageant auprès de la Fondation ARC, je souhaite sensibiliser toutes les femmes à l’importance du dépistage et à la nécessité de soutenir la recherche.

C’est grâce aux chercheurs que je suis en vie aujourd’hui… Les soutenir, c’est protéger toutes les femmes que nous aimons du cancer du sein !

Frédérique, guérie d’un cancer du sein


Témoignage de Carol

J’ai décidé d’être présente pour elle et de la soutenir.

CarolQuand mon amie Frédérique m’a annoncé qu’elle avait un cancer du sein, le choc a été très brutal. Je me suis réfugiée dans le déni. Et puis, face à cette terrible situation, j’ai décidé d’être présente pour elle et de la soutenir de toutes mes forces. Chaque jour, nous discutions pendant des heures, je l’aidais à embellir son quotidien et à supporter la lourdeur de cette épreuve en positivant. Le jour où elle m’a appris qu’elle était guérie, j’ai été réellement soulagée qu’elle soit enfin sauvée et qu’elle puisse envisager l’avenir sereinement !

Tout le monde doit se mobiliser contre le cancer. Pour protéger les femmes que nous aimons, il faut des traitements encore plus efficaces et pour cela, il faut soutenir les chercheurs !

Carol, amie de Frédérique guérie d’un cancer du sein


Témoignage de Bruno

Aujourd'hui, je n'ai ni séquelle ni traitement : j'ai été sauvé par la recherche !

Ma première chance, c'est d'avoir eu un médecin traitant qui me prescrive une analyse de sang pour contrôler ma prostate. Le taux était anormal et les biopsies ont révélé ensuite 3 zones cancéreuses dont une de niveau 4. Cela nécessitait normalement une ablation, avec tous les risques que cela comporte… Ma seconde chance, c'est d'avoir pu bénéficier d'un nouveau protocole de traitement par micro-ondes, sans intervention chirurgicale. Le lendemain, je suis rentré chez moi à pied : aucune douleur, aucune gêne, aucun saignement. Aujourd'hui, je n'ai ni séquelle ni traitement : j'ai été sauvé par la recherche !

Bruno, 64 ans


Témoignage de Vanessa

Je compte beaucoup sur les avancées médicales et sur la recherche.

VanessaJ’avais 32 ans quand le cancer m’est tombé dessus. C’était un cancer du sein détecté à un stade précoce, et j’ai été traitée par chirurgie et par radiothérapie.

Mais le cancer a récidivé, et cette fois, il était invasif. J’étais enceinte de sept mois et demi, et il fallait faire vite. À peine une semaine après le diagnostic, on m’a fait une césarienne, puis j’ai subi l’ablation totale de mon sein. J’ai ensuite été traitée par chimiothérapie puis par thérapie ciblée. J’ai aussi subi l’ablation préventive de l’autre sein.

Je suis toujours suivie de très près. J’ai aujourd’hui 38 ans, mon fils a 4 ans, et nous allons bien tous les deux. Je suis heureuse malgré ce parcours difficile. Je souhaite profiter de la vie et voir grandir mon petit garçon. J’ai des projets plein la tête. Aussi, je compte beaucoup sur les avancées médicales et sur la recherche.

Vanessa, 38 ans