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Transmission : les témoignages

JE SOUHAITE ÊTRE RAPPELÉ/E PAR LA FONDATION ARC
MES CONTACTS PRIVILÉGIÉS...
Jennifer Coupry 01 45 59 59 62
Sophie Poujol 01 45 59 59 61

Découvrez les témoignages de quelques bienfaiteurs de la Fondation ARC.

Legs

Témoignage de René

Le soulagement que j’ai ressenti une fois ceci fait était très fort : la boucle était bouclée.

La recherche sur le cancer a toujours eu une place particulière dans ma vie. J’y ai un peu pris part dans la première partie de ma carrière professionnelle, lorsque je travaillais sur la mise au point d’une caméra à rayons Gamma pour étudier les tumeurs. C’était passionnant et j’avais l’impression de participer un peu au combat que les malades menaient contre le cancer. 
Bien plus tard, lorsqu’un cancer du sein a été découvert chez mon épouse, j’ai pu voir à quel point les méthodes de diagnostic et de traitement avaient évolué au fil des années. Nous avons fait face à sa maladie ensemble et elle s’est battue courageusement jusqu’au bout, finalement emportée par le Covid.

Nous n’avons pas eu d’enfant et avions décidé que le fruit de notre travail à tous les deux servirait en partie à la recherche sur le cancer. Il y a encore tant à faire. Je souhaitais également laisser quelque chose au frère et à la sœur de mon épouse qui m’ont beaucoup soutenu à son décès. 

Le notaire m’a expliqué que je pouvais léguer l’ensemble de mon patrimoine à la Fondation ARC et demander qu’ils reversent une somme précise d’argent à mes proches. J’ai alors pris contact avec la personne en charge de la relation avec les testateurs de cette fondation pour lui faire part de mon projet de transmission. J’ai été conforté dans mon choix, ayant l’assurance qu’une grande partie de mon héritage servira à financer la recherche et que ma belle-famille n’aura pas de frais de succession à payer sur le montant transmis. J’ai alors pu rédiger mon testament et l’ai déposé chez le notaire. Le soulagement que j’ai ressenti une fois ceci fait était très fort : la boucle était bouclée.

René, 76 ans, Roquefort-les-Pins (06)


 


Témoignage de Jean-Louis

Je souhaitais que la moitié de ma quotité disponible soit transmise à la Fondation ARC.

Jean-LouisLa peine que l’on ressent à la perte d’un enfant est immense. Ma fille Céline est décédée des suites d’un mélanome. Elle avait 40 ans, 2 enfants et un bel avenir devant elle.

En souvenir de Céline, mais aussi pour éviter que d’autres familles ne vivent le même drame, j’ai décidé qu’une partie de mon héritage irait à la recherche sur le cancer, et j’ai choisi la Fondation ARC. Lorsque j’ai évoqué le sujet avec François, le frère de Céline, il a très bien compris ma démarche et m’a encouragé dans ce sens.

Je connaissais la notion de réserve héréditaire mais ne savais pas comment rédiger mon testament pour qu’il reflète mes volontés : je souhaitais que la moitié de la quotité disponible, dont je peux faire ce que je veux, soit transmise à la Fondation ARC. J’ai pris contact avec la responsable des relations testateurs de la fondation et ai pu obtenir les conseils qui m’ont permis d’aller au bout de ma démarche et déposer mon testament chez le notaire.

Je suis heureux d’avoir fait ce choix. Il donne du sens à mon héritage en permettant d’aider cette cause si importante tout en protégeant mon fils et mes petits-enfants.

Jean-Louis, 78 ans, Marzy (58)


   Je soutiens totalement mon père dans cette démarche qui honore la mémoire de Céline. J’espère que ces fonds pourront contribuer à la recherche et éviter à d’autres familles de subir la souffrance que nous avons endurée.

François, fils de Jean-Louis


 


Témoignage de Claude

Le legs, la révélation !

ClaudeCoucou, je m’appelle Claude, je suis une retraitée heureuse, ouverte aux autres, aux voyages et adepte du sport. Mais je suis sans enfants. Ma famille est éparpillée dans toute la France. Mon compagnon du week-end (et mon chef de bord adoré quand nous naviguons à voile) sera-t-il en forme pour régler la logistique de mon « après-vie » ? Et puis par ailleurs, il y a ma nièce qui, à l’âge de vingt ans, a eu le lymphome de Hodgkin. Je l’ai beaucoup entourée jusqu’à la victoire finale grâce au don de moëlle osseuse de son frère. Depuis un lien fort nous unit.

Comment régler ma succession sans déranger personne ? Tout cela tournait dans ma tête, sans issue. Et enfin, il y a eu la révélation ! Je découvre les modalités du legs dans un mensuel pour seniors. Alors le processus se met en place dans mon cerveau : je vais nommer une association « légataire universel » de mes biens et en contrepartie, celle-ci gèrera ma succession sur le plan administratif et logistique.

Je passe alors à l’action. Le notaire me donne la liste des associations classées par thème et agréées par l’état pour recevoir un legs. Je choisis la Fondation ARC car c’est la plus dédiée à la recherche sur les lymphomes et celle dont les comptes sont les plus contrôlés. Munie de toutes ces informations, je rédige mon testament avec l’aide de la responsable des relations testateurs. Elle m’a bien entourée et conseillée, sans jamais m’influencer : un accompagnement humain, technique et sans jargon juridique. Cette relation fluide a facilité ma démarche car, il faut bien se l’avouer, se projeter dans l’après-vie n’est pas chose aisée.

Bref, après la validation finale de mon testament par mon notaire, toute contente, je reviens vers la responsable testateurs de la Fondation ARC et lui dis : « Ça y est ! C’est fait ! Maintenant je peux mourir en paix ! » Elle me répond alors d’un ton joyeux et péremptoire  : « Détrompez-vous, ce sont ceux qui se débarrassent de leurs soucis au fur et à mesure qu’ils arrivent, qui vivent le plus longtemps ! »

Alors moi, je crois que je vais vivre centenaire.

Claude, 75 ans, Le Havre (76)


 


Témoignage d'Alain

J’ai décidé de changer la clause bénéficiaire de mon contrat d’assurance-vie.

La recherche sur le cancer est importante pour moi et je souhaite qu’après mon décès une partie de mon argent serve à cette cause.

J’ai fait part de ce projet à mon banquier qui m’a parlé de la possibilité de désigner une association comme bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie. Ayant mis à l’abri mes héritiers, j’ai décidé de changer la clause bénéficiaire de l’un de ces contrats.

Le choix de la Fondation ARC s’est imposé à moi logiquement de par son combat depuis des années contre le cancer. Je suis convaincu du sérieux de cette fondation en laquelle j’ai toute confiance.

Beaucoup de familles sont touchées par ce fléau et il y a un point essentiel pour faire avancer la recherche, ce sont les moyens financiers. Ce défi que nous devons relever ensemble, doit être à la hauteur de nos espoirs dans le combat contre cette maladie. Je suis heureux d’y contribuer grâce à mon assurance-vie.

Alain, 86 ans, Royan (17)


 


Témoignage de Catherine

Il m’a paru évident d’apporter ma contribution à la recherche sur le cancer.

Mon tendre époux est décédé des suites d’un cancer.

N’ayant pas eu d’enfants, il me parut naturel et évident d’apporter ma contribution à la recherche sur le cancer.

C’est ainsi que j’ai déposé et fait enregistrer chez un notaire mon testament stipulant que je désignais la Fondation ARC comme seul bénéficiaire du solde de mes comptes bancaires après mon décès. En outre, ma banque a enregistré cette information.

Lorsque je serai prête pour mon dernier voyage, je partirai l’âme légère et apaisée, enrichie à l’idée que mon modeste pécule bancaire puisse servir une noble cause.

Catherine, 67 ans, Berck-sur-Mer (62)


 


Témoignage de Roger

C’est aussi un geste d’amour envers mon épouse.

RogerDans le déroulement banal du quotidien nous oublions que les maladies nous guettent. C’est hélas ce qui nous est arrivé !

Mon épouse est décédée en 2016 d’un cancer du sein non diagnostiqué et devenu irréversible. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Une vie perdue prématurément, la douleur, le chagrin pour le reste de ma vie, le regret de ce qui n’a pas été fait. Le diagnostic : une mammographie, une prise de sang ; quoi de plus inoffensif.

C’est donc là que se situe ma motivation de legs à l’ARC qui par sa portée nationale peut largement informer et par ailleurs financer la recherche qui en a tant besoin. C’est aussi un geste d’amour envers mon épouse.

Roger, 90 ans, Cucq (62)


 


Témoignage de Francine

Je suis donatrice à la Fondation ARC depuis très longtemps, mais j’avais envie d’en faire plus.

FrancineMon mari est décédé à 65 ans d’un cancer du pancréas. Je suis moi-même en rémission suite à un cancer de la moelle osseuse. Nous n’avons pas eu d’enfants mais nous sommes beaucoup occupés d’une nièce dont le père est mort très jeune, lui aussi d’un cancer.

Je suis donatrice à la Fondation ARC depuis très longtemps, mais j’avais envie d’en faire plus, tout en protégeant ma nièce.

J’ai contacté la responsable des relations testateurs pour lui faire part de mon projet. Elle a eu une oreille attentive et nous en avons longuement parlé. Elle m’a envoyé la brochure sur les legs, donations et assurance-vie. J’y ai trouvé un grand nombre d’informations et le journal « Spécial Transmission » a complété ma décision. Récemment, je suis allée voir le notaire pour déposer mon testament et nommer légataire universel la Fondation ARC, à charge pour elle de délivrer un legs particulier à ma nièce, la Fondation ARC supportant les frais et droits de succession. Ma nièce n’aura ainsi rien à payer et les chercheurs pourront avancer dans leurs travaux un peu grâce à moi.

La recherche sur le cancer progresse, j’en suis la preuve. Mais elle a encore besoin de nos dons et legs pour avancer. Et nous, en tant que malades, nous avons besoin d’elle pour vivre.

Francine, 71 ans, Bagneux (92)


 


Témoignage de Marie

Je suis soulagée d’avoir fait ce testament qui prolongera mon engagement aux côtés de la Fondation ARC.

Marie FLa recherche sur le cancer est très importante. C’est une cause qui nous touche tous et je ne connais personne qui soit épargné, de près ou de loin. C’est pourquoi mon mari et moi avons toujours donné à la Fondation ARC.

Après son décès, j’ai continué bien sûr, et je suis même passée en prélèvement automatique. C’est pratique, je n’ai pas à me soucier de me souvenir de faire un chèque et cela témoigne de mon fidèle engagement.

 

Il y a quelques années, j’ai participé à une rencontre avec des chercheurs à l’Oncopole de Toulouse. C’était remarquable. C’est à la suite de cet événement que j’ai décidé de faire un legs à la Fondation ARC. J’ai pris contact avec la responsable des relations testateurs pour avoir des informations sur cette démarche et elle m’a accompagnée dans mon projet que j’ai finalisé quelques mois plus tard. Je suis réellement soulagée d’avoir fait ce testament qui prolongera mon engagement aux côtés de la Fondation ARC.

Marie, 83 ans, Portet-sur-Garonne (31)


 


Témoignage d'Arlette

Je conseille à tous mes amis de faire leur testament le plus tôt possible.

J’ai fait mon testament à l’âge de 44 ans. C’est bien jeune diront certains, et pourtant je conseille à tous mes amis de faire leur testament le plus tôt possible. On ne sait jamais ce qui peut se passer et cela évite bien des problèmes dans les familles. Sans parler du soulagement que je ressens de savoir que toutes mes volontés seront respectées quand je ne serai plus là.

Ce qui m’a décidé à faire ce testament pour la Fondation ARC, c’est l’opération que j’ai eue suite à un cancer du sein. Nous étions mon mari et moi donateurs à l’ARC depuis plusieurs années. Mon mari est décédé quand j’avais 40 ans. J’ai affronté seule mon cancer du sein et je remercie les chercheurs et les médecins qui ont été remarquables et m’ont sauvé la vie. Nous n’avons pas eu d’enfants et c’est donc tout naturellement que j’ai choisi de transmettre tout mon petit pécule à la Fondation ARC. Il y a bien sûr eu le scandale dans les années 90, mais je savais que c’était uniquement l’histoire d’un homme. La recherche sur le cancer était et reste une priorité, pour moi, mais aussi pour tous les malades du cancer et leurs familles. Je suis fière d’y contribuer un peu à ma manière.

Arlette, 79 ans, Paris (75)