Depuis une quinzaine d’années, l’évolution de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) a permis d’important progrès dans le diagnostic des cancers de la prostate.
Depuis une quinzaine d’années, l’évolution de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) a permis d’important progrès dans le diagnostic des cancers de la prostate. Cette technique a notamment bénéficié d’une diversification des protocoles utilisés (on parle d’IRM multiparamétrique) et permet actuellement de déceler bien plus efficacement des foyers tumoraux de petite taille, moins accessibles aux biopsies et potentiellement agressifs.
Si l’IRM « classique » permet de visualiser les volumes anatomiques, deux approches alternatives permettent de visualiser d’autres propriétés des tissus.
Utilisées conjointement, ces techniques ont nettement amélioré la sensibilité et la spécificité de l’IRM. Elles génèrent aussi de nouvelles données que les chercheurs et les médecins tentent d’exploiter pour mieux décrire la maladie et prédire son évolution.