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Le Prix Hélène Starck 2015

Créé en 1999, le Prix Hélène Starck récompense des jeunes chercheurs soutenus par la Fondation ARC pour la présentation de leurs travaux scientifiques.

En 2015, 10 jeunes chercheurs ont été récompensés par le jury présidé par le Pr Naomi Taylor (Institut de génétique moléculaire de Montpellier) et vice-présidente du Conseil scientifique de la Fondation ARC.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleures communications orales - catégorie thèse

Mathilde Guzzo
Mathilde Guzzo
Hélène Malka-Mahieu
Hélène Malka-Mahieu

Mathilde Guzzo (Institut de microbiologie de la Méditerranée, Aix-Marseille Université) utilise un modèle bactérien pour étudier les mécanismes fondamentaux qui régulent la migration cellulaire afin de mieux comprendre comment les cellules cancéreuses se propagent et donnent naissance aux métastases.

Hélène Malka-Mahieu (Gustave Roussy, Villejuif) travaille sur les mélanomes métastatiques et s’intéresse plus précisément aux mécanismes d’échappement aux traitements. Ses travaux ont notamment conduit à l’identification d’un biomarqueur qui devrait permettre de prédire la réponse aux thérapies ciblées et donc de mieux adapter le traitement au patient.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleures communications orales - catégorie post-doctorat

Davide Ferraro
Davide Ferraro
Stéphanie Torrino
Stéphanie Torrino

Davide Ferraro (Institut Curie, Paris) est docteur en Sciences des matériaux et travaille à la réalisation d’une nouvelle méthode de diagnostic fondée sur une technologie micro-fluidique. En réduisant le volume des échantillons, cette approche devrait permettre, à terme, d’effectuer des tests à l’échelle d’une cellule, d’explorer la diversité biologique des tumeurs (toutes les cellules tumorales ne présentent pas les mêmes caractéristiques) et de faciliter ainsi l’accès à des thérapies de plus en plus personnalisées.

Stéphanie Torrino (Institut Curie, Paris) étudie l’impact des forces exercées par le micro-environnement sur le développement des cellules cancéreuses. Ses travaux sur le cancer du sein montrent que lorsque les cavéoles (des invaginations de la membrane cellulaire) perdent l’élasticité qui leur permet de s’adapter aux forces extérieures, le cancer est plus agressif. Ces travaux pourraient permettre à la fois de mieux évaluer l’agressivité de la tumeur et de trouver de nouvelles cibles thérapeutiques.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleurs posters - catégorie Master

Louise Crivelli
Louise Crivelli
Anne Wanquet
Anne Wanquet

Louise Crivelli (Institut Bergonié, Bordeaux) travaille sur l’identification des mutations génétiques responsables du syndrome de Cowden, une maladie rare caractérisée notamment par l’accroissement du risque de cancer. Une meilleure connaissance des mutations génétiques permettra, à terme, de mieux identifier une population à haut risque de cancer, chez laquelle il sera possible de favoriser une prise en charge précoce des tumeurs.

Anne Wanquet (Centre de recherche en cancérologie de Marseille) réalise des recherches sur les levures afin d’explorer une piste qui pourrait contribuer à prévenir l’altération des télomères (l’extrémité des chromosomes dont le raccourcissement est lié au vieillissement cellulaire) impliquée notamment dans le développement des cancers.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleurs posters - catégorie thèse

Filippo Della Marina
Filippo Della Marina
Matteo Cattaneo
Matteo Cattaneo

Filippo Della Marina (Institut Curie, Orsay) travaille sur la leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) à cellules de type B. Ses travaux ont pour objectif, à terme, l’évaluation pré-clinique de l’association de deux thérapies ciblées visant le récepteur de l’IGF-1R (Insulin-like Growth Factor 1, contrôlant la croissance cellulaire) et de l’oncoprotéine BCR-ABL. Cette association pourrait conduire à une rémission prolongée de ce type de LAL.

Matteo Cattaneo (Institut Albert Bonniot, La Tronche) étudie chez la levure la fonction d’une protéine impliquée dans le développement des tumeurs. Cette protéine, importante pour contrôler la lecture de l’ADN et en préserver l’intégrité, pourrait constituer une cible thérapeutique prometteuse dans le traitement des cancers.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleurs posters - catégorie post-doctorat

Marine Bretou
Marine Bretou
Benoît Souquet
Benoît Souquet

Marine Bretou (Institut Curie, Paris) s’intéresse à la façon dont les cellules du système immunitaire parviennent à migrer vers les ganglions lymphatiques. À terme, ses travaux devraient permettre de mieux comprendre la migration aberrante des cellules cancéreuses vers ces ganglions, un comportement clé dans la dissémination des métastases.

Benoît Souquet (Institut Jacques Monod, Paris) étudie la protéine Nup133, encore méconnue, et qui semble avoir un rôle déterminant dans la différenciation des cellules (mécanisme par lequel une cellule se spécialise pour bien jouer son rôle, là où elle se trouve). L’agressivité d’un cancer est souvent corrélée à la présence de cellules très indifférenciées.