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Le Prix Hélène Starck 2017

Créé en 1999, le Prix Hélène Starck récompense des jeunes chercheurs soutenus par la Fondation ARC pour la présentation de leurs travaux.

Le président du jury scientifique, Lionel Larue, a salué la qualité des travaux présentés cette année avant de désigner les sept lauréats du prix Hélène Starck récompensant les meilleures présentations orales ou posters.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleures communications orales

Seyran
Berfin Seyran
Guittard
Geoffrey Guittard
Ben Jouira
Rania Ben Jouira
  • Berfin Seyran, doctorante, à l’Institut de recherche en cancérologie de Montpellier, pour ses travaux sur le rôle de la protéine E4F1 activatrice de gènes clés dans le métabolisme des cellules de la peau et le renouvellement normal de ce tissu ;
  • Geoffrey Guittard, post-doctorant au Centre de recherche en cancérologie de Marseille, pour ses recherches visant à améliorer l’efficacité anti-tumorale des lymphocytes T cytotoxiques (des cellules du système immunitaire capables de détruire des cellules anormales) afin de développer de nouvelles immunothérapies;
  • Rania Ben Jouira au Centre méditerranéen de médecine moléculaire (C3M) de Nice pour ses travaux sur le rôle d’un réseau de protéines extracellulaires appelé « matrice extracellulaire » dans la résistance des mélanomes aux thérapies ciblées.

Lauréats du prix Hélène Starck des meilleurs posters

Perret
Raul Ezequiel Perret
Noella Lopes
Noella Lopes
Patricia Davidson
Patricia Davidson
Coralie Trentesaux
Coralie Trentesaux
  •  Raul Ezequiel Perret, étudiant en master 2 recherche au Centre régional de recherche en cancérologie Nantes-Angers (Nantes) pour ses travaux sur le rôle du corécepteur NRP1 (Neuropilin1) dans la résistance à la chimiothérapie du glioblastome multiforme, le plus fréquent des cancers du cerveau ;
  • Noella Lopes, doctorante au Centre d’immunologie de Marseille-Luminy, pour ses recherches précliniques sur la prévention du cancer du côlon associé à la colite ulcéreuse, grâce au transfert de lymphocytes T régulateurs spécifiques (déficients en lymphotoxine a) ;
  • Patricia Davidson, post-doctorante à l’Institut Curie (Paris) pour ses travaux sur le rôle des nesprines, des protéines qui relient le noyau au squelette de la cellule et qui jouent un rôle dans la capacité des cellules tumorales à rentrer à l’intérieur des vaisseaux sanguins puis à en sortir pour former des métastases à distance ;
  • Coralie Trentesaux, doctorante à l’Institut Cochin, pour ses recherches explorant l’impact de l’autophagie (ou auto-cannibalisme cellulaire) dans la survie des cellules souches responsables du développement du cancer colorectal afin de développer, à terme, de nouvelles pistes thérapeutiques.


Crédits photo : Eric M. / Encre Noire / Fondation ARC